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Ottawa Citizen - 25 juli 2015.

 

« La force tranquille de Vanden Eynden » (La Libre Belgique – 22 octobre 2001)

(…) Point d’orgue final, la Valse de Ravel, motifs s’entrechoquant dans une danse infernale, marqua la fin d’un voyage dans le répertoire pianistique, véritable leçon de style du maître et virtuose J.-C. Vanden Eynden. (Q.C.)



« La musique de chambre belge au sommet » (Le Soir – 16 juin 2001)

(…) Jean-Claude Vanden Eynden est toujours aussi impérial au clavier, capable de toutes les nuances et de toutes les couleurs pour mêler son jeu – dans la fusion aussi bien que dans l’individualité – à celui des cordes. (…) (Michel Debrocq)



« Jean-Claude Vanden Eynden et le Quatuor Ysaïe – Une ville en musique » (Le Soir - 2 mai 2000)

(…) La complicité qui unit les musiciens français au merveilleux pianiste qu’est Jean-Claude Vanden Eynden a de nouveau été à la base de grands moments de musique de chambre . (Michel Debrocq)



« Konzert im Schlosshotel – Das Publikum huldigte dem Pianisten » (ABB – 28 April 2000)



«  Pascal Rophé enflamme l’OPL » (Le Soir)

(…) (ndlr en parlant du prmier concerto pour piano d’Arthur De Greef)  Jean-Claude Vanden Eynden en a exprimé toute la sève mélodique avec un remarquable investissement dramatique et poétique, tour à tour virevoltant, rêveur ou explosif. (M. Dq)



« Le dernier Romantique » (Vers l’Avenir – 4 novembre 1999)

(…) On ne sait ce qu’il faut admirer en premier chez ce grand Monsieur du piano.  Sa technique époustouflante lui permet d’avaler toutes les difficultés sans effort apparent.  Bach est majestueux, Beethoven a beaucoup de profondeur, Chopin est sobre, van Rossum est lyrique et Ravel est coloré.  Si vous êtes habitué à une Jean-Claude Vanden Eynden sérieux, un peu froid, légèrement distant et qui contrôle bien ses émotions, il faudra revoir votre jugement.  Ce pianiste a ajouté à ses nombreuses qualités, la passion qui décoiffe, qui met en transe et fait perler le front garni de mèches rebelles.  Le public admiratif et émus réserva un triomphe au pianiste. (Léa Strasunas)



« Un Maître, un clavier, une école » (Le Vif/L’Express – 19 novembre 1999)

(…) « Je sais que mon discours (ndlr : concernant l’enseignement musical en Belgique) dérange, mais j’aimerais recentrer un peu les choses et que l’on retrouve le sens de la discipline, comprise comme effort pour atteindre un but.  Un art ne se crée pas sans une discipline acharnée, disait très justement Salvador Dali » (Michèle Friche)



« Les chemins de la virtuosité » (Le Soir – 14 juillet 1999)

Jean-Claude Vanden Eynden à la tête d’une nouvelle école de piano. (Michel Debrocq)



« Un trio belge pour Brahms : la synthèse aboutie » (le Soir)

(…) D’emblée le piano de Vanden Eynden se fait grandeur et profond dans  la première sonate, pour ensuite s’effacer et accompagner la clarinette de Boeykens dans des demi-teintes d’une douceur ineffable.  La rêverie de « l’andante se pare alors d’une douceur soyeuse avant que « l’allegretto grazioso » ne devienne la réconciliation de toutes les musiques de danse.  Si le piano à du corps et du muscle, la clarinette a de la chair (…) (Serge Martin)




« Reprise des Concerts de Midi » (La Semaine d’Anvers – 26 septembre 1997)

(…)  Jean-Claude Vanden Eynden, pour sa part, laisse toujours admirer sa musicalité sensible, sa vélocité souple, son infini respect des œuvres et des maîtres.(Olivier)



« Concerts de Midi : violon et piano » (la semaine d’Anvers – 22 décembre 1995)

(…) Véronique Bogaerts et Jean-Claude Vanden Eynden offrirent une fois de plus un échantillon éloquent de leur savoir. L’entente est d’ailleurs étroite et exemplaire entre les deux artistes (…)



« Mozart au kaléidoscope » (La Libre Belgique – novembre 90)

Facette mozartienne plus familière, le 23è Concerto K.488 n’en fut pas moins un plaisir à écouter sous les doigts de Jean-Claude Vanden Eynden.  Le pianiste y imprime un phrasé vivant, aux respirations naturelles, d’un toucher qui évite autant la dureté que la mièvrerie, réservant un lyrisme d’un tendre clair-obscur à l’adagio. (…) (Paule Tran)



« Anniversaire plutôt ringard aux J.M. de Bruxelles » (Le Soir – 25 octobre 199)

(… ) Le meilleur moment de la soirée nous vint en seconde partie, lorsque Jean-Claude Vanden Eynden et sa jeune fille adoptive, Eliane Reyes (née en 1977), interprétèrent, toujours en compagnie de l’ONB, le charmant « concerto pour deux pianos et orchestre en mi bémol majeur » de Mozart. (…)



« Spannend weekend besluit eerste week Orlando Festival » (De Limburger – 23 juli 1990)

(…) De belangrijkste pianopartij werd schitterend ingevuld door de Belgische solist.  (…) (John Hoenen)